Panasonic FZ200La photo et la vidéo pour les Nuls, ou comment ne rien rater en toutes circonstances!

Le Lumix DMC FZ5 (et suivants), nous l'avons découvert avant même de nous équiper de plusieurs boitiers réflex. C'était la période où nous mutions doucement de l'argentique au tout numérique.

Nous avions déjà fait l'acquisition de petits compacts (Sony Cyber Shot et Canon IXUS), nous étions satisfaits du rendu photographique, mais nous déplorions la faiblesse des zooms. Nous étions sceptiques de passer au reflex numérique (changements d'habitude, coût, post traitements) et jouions la carte de la prudence et de la montre !

 

Comment risquer de ne rien rapporter de valable comme matière photographique quand on se décide à la dernière minute (en juin pour juillet), de partir un mois en voyage en auto tour en Alaska, et ne  pas être sûr d'y retourner un jour!

Donc l'idée du Lumix de Panansonic (FZ5) a pointé son nez en juin 2005, (5MPX, stabilisateur d'images, ouverture constante à 2.8, zoom 400 mm malgré une vidéo encore modeste.

C'est ainsi que nous avons tout d'abord traversé le Yukon sur la piste des chercheurs d'or, retrouvé Jack London à Dawson City, humé les lieux myhtiques du tournage de Croc Blanc à Haines et surtout immortalisés les ours grizzlis pêcheurs de saumons aux chutes de la rivière Brooks dans le Parc National de Katmaï.

La saga Lumix a continué avec, au cours des voyages suivants, Nunavut, baie d’Hudson, Groenland, Islande avec le FZ28, puis le FZ48 (malencontreusement coulé ouvert dans la Dordogne !), enfin le FZ 100, puis depuis novembre 2012 le DMC FZ200, qui correspond bien aux qualités décrites sur les bons sites dédiés au matériel photo qui vient de sortir, bonne expérience donc à nouveau au cours de ce voyage au Spitzberg en juillet 2013, tant du point de vue photographique, qu’en matière de vidéo.

Ce petit dernier, permet de travailler en Raw si on le souhaite, et de réaliser des vidéos en HD.

Le plus remarquable c’est la possibilité de passer en un instant d’une macro de fleur microscopique à un zoom (600 mm) sur un renne entrain de courir, avec un appareil particulièrement léger (mais plutôt robuste, malgré son aspect "plastique"). La lenteur du déclenchement est nettement atténuée dans ce dernier modèle, de même la qualité du viseur s’est nettement améliorée. La possibilité de faire des rafales en 12 images/seconde, lui permet de réaliser d'excellentes photos animalières, sans être du tout spécialiste.

Les grandes possibilités de réglages permettent de réduire le côté photo trop nette, un peu flashy, presque rigide de ce type de photo.

La qualité du tout automatique (mais après un bon réglage de certains paramètres), permettent au non spécialiste de réaliser 90% de bonnes photos, (on peut toujours lui reprocher un rendu de couleur moyennement fdèle, surtout dans la gamme des bleus) c'est-à-dire, avec une bonne qualité technique (pas floue, pas surexposée, regardable). Bien sûr il faudra comme avec n’importe quel appareil être attentif au cadrage, et au sujet, mais en termes de souvenirs ceux là seront non seulement corrects, mais ils pourront parfois être exceptionnels car la chance peut aussi aider à optimiser un résultat!

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Bon à savoir

On ne peut pas aller partout sur le globe.

Si on en a la chance bien sûr rien ne vaut l'expérience de terrain.

On peut cependant participer en direct à la vie animale en les regardant agir grâce aux web cams installées de part de le monde, dans des lieux de plus en plus reculés: faites un tour par exemple avec les ours de Katmaï qui se régalent de leur pêche aux saumons, c'est EN CE MOMENT, en juillet, ensuite ils vont sur un autre spot pendant le mois d'août, pour réappaaraître en septembre.

KATMAI NATIONAL PARK, BROOKS FALLS (chutes de la rivière Brooks) en Alaska: http://explore.org/live-cams/player/brown-bear-salmon-cam-brooks-falls#sthash.3KtZvrLx

Dans "anecdotes et contes"

Illustration du conte inuit "la femme squelette"Le conte inuit de la femme squelette

Elle avait fait quelque chose que son père désapprouvait, mais dont personne ne se souvenait. Toujours est-il que son père l'avait traînée jusqu'à la falaise et précipitée dans la mer. Les poissons avaient mangé sa chair, dévoré ses yeux. Et elle gisait sous les eaux, son squelette ballotté par les courants.

Un jour, arriva un pêcheur. En fait, ils étaient plus d'un à pêcher à cet endroit, mais celui-ci avait été entraîné bien loin de chez lui et il ignorait que les pêcheurs des environs se tenaient à l'écart de cette crique, disant qu'elle était hantée.

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